05 Jun
05Jun

Sélection spécial Japon

"Tunnel to summer " de  Mei Hachimoku (T01 , T02, T04) et Koudon (T03) 

Le résumé:

Un soir d'été, alors qu'il erre en pleine campagne, Kaoru Tôno tombe sur un étrange tunnel. Serait-ce le fameux passage d'Urashima, censé exaucer tous les souhaits ? L'adolescent est décidé à percer à jour ce secret pour faire revenir celle qui lui était le plus cher, jonglant entre les enquêtes secrètes et sa vie de timide lycéen... Kaoru est prêt à tout, mais quel sera le prix à payer pour activer les pouvoirs de ce lieu surnaturel ?
Découvrez un formidable récit teinté de douceur et de mystères dans cette adaptation du light novel de Mei Hachimoku, détenteur du prix spécial du jury et du grand prix Gagaga au Japon !


"T-Ma vie en T-shirts" de Haruki Murakami

Le résumé:

Seul le maître Haruki Murakami pouvait choisir de raconter sa vie à travers sa collection de T-shirts. Inédite en France, joliment illustrée de surprenantes photos, une autobiographie unique, à la fois nostalgique, piquante et cocasse, qui ouvre une brèche sur la personnalité un brin excentrique d’un auteur notoirement secret.
"Lequel de mes T-shirts a le plus de prix pour moi ? Je crois que c’est le jaune, celui qui porte l’inscription « Tony Takitani ». Je l’ai déniché sur l’île Maui, dans une boutique de vêtements d’occasion et je l’ai payé un dollar ; après quoi, j’ai laissé vagabonder mon imagination : quel genre d’homme pouvait bien être ce Tony Takitani ? Puis j’ai écrit une nouvelle dont il était le protagoniste, nouvelle qui ensuite a même été adaptée en film."



"Petits oiseaux" de Yôko Ogawa

Le résumé:

Petits oiseaux est un roman d'une douceur salvatrice qui nous confie un monde où la différence n'influe pas sur le bonheur, où la solitude conduit à un bel univers, un repli du temps préservant l'individu de ses absurdes travers, un pays où s'éploient la voix du poème, celle des histoires et des chants d'oiseaux, celle des mots oubliés.



"La papeterie Tsubaki " de Ito Ogawa
Le résumé :

 Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l'art difficile d'écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l'encre, l'enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d'un singe, des lettres d'adieu aussi bien que d'amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c'est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre de réconciliations inattendues. 


"Le restaurant de l'amour retrouvé  " de Ito Ogawa 

Le résumé:

Une jeune femme de vingt-cinq ans perd la voix à la suite d’un chagrin d’amour, revient malgré elle chez sa mère, figure fantasque vivant avec un cochon apprivoisé, et découvre ses dons insoupçonnés dans l’art de rendre les gens heureux en cuisinant pour eux des plats médités et préparés comme une prière.
Rinco cueille des grenades juchée sur un arbre, visite un champ de navets enfouis sous la neige, et invente pour ses convives des plats uniques qui se préparent et se dégustent dans la lenteur en réveillant leurs émotions enfouies.
Un livre lumineux sur le partage et le don, à savourer comme la cuisine de la jeune Rinco, dont l’épice secrète est l’amour.
Un petit chef-d’œuvre gastronomique et littéraire (Marjorie Alessandrini, Le Nouvel Observateur).



 

"Le temps qui va, le temps qui vient" de Hiromi Kawakami
Le résumé:

C'est non pas une coupe de saké mais un poisson à la main que l'on pénètre dans ce petit quartier commerçant de Tôkyô. Car c'est surtout dans la boutique du poissonnier amateur de Cocteau que se rencontre la chaleureuse communauté de gens qui l'habitent.
Chacun à son tour prend la parole dans une manière de fugue à la composition surprenante, à la fois très structurée et d'apparence aussi aléatoire que le hasard qui enchevêtre ces vies les unes aux autres.
De chapitre en chapitre, les fils de ces existences séparées peu à peu se rejoignent et dessinent un motif qui ne deviendra pleinement lisible qu'aux derniers accords de la fin.
Il est question de solitude et de rencontres, de passions secrètes, de joies modestes mais délectables, et l'écriture ne se fait jamais plus légère que lorsqu'il s'agit d'évoquer les choses graves.


"La brocante Nakano" de Hiromi Kawakami
Le résumé:

A Tôkyô, la brocante Nakano n'est pas un repaire d'objets chers, mais plutôt originaux et incongrus, comme parfois les clients qui la fréquentent. Son propriétaire a un penchant très prononcé pour le sexe féminin, sa sœur Masayo fabrique des poupées, les jeunes Hitomi et Takeo viennent les aider.
La boutique est comme une roue de la vie où se croisent, s'aiment et s'échangent les personnages, au gré de leurs attirances et de leur fantaisie.
Avec délicatesse et sensualité, Kawakami évoque ces liens mystérieux qui se nouent entre les êtres, où l'on feint de jouer son amour aux dés et de prendre à la légère ce qui vous remue le cœur.
Son roman résonne de mille petits bonheurs qui entrent en correspondance avec les hasards de la vie. Et le son qu'il en tire est léger et clair, telle la coupe offerte de la vie.


"Au coeur du Yamato : Mitsuba - Zakuro - Tonbo - Tsukushi - Yamabuki " de Aki Shimazaki 
Le résumé:

Après l'immense succès du cycle Le Poids des secrets, Aki Shimazaki en a achevé un deuxième, ici proposé dans son intégralité : intitulé Au cœur du Yamato, il est composé des romans Mitsuba, Zakuro, Tonbo, Tsukushi et Yamabuki qui peuvent se lire indépendamment ou dans l'ordre que l'on voudra.
Avec l'écriture discrète, élégante et pleine d'empathie qu'on lui connaît, Aki Shimazaki met en évidence, à travers le silence mensonger des hommes, l'insondable douleur de vivre dans le secret et la violence des lois sociales au Japon.


"Pays de neige" de Yasunari Kawabata
Le résumé:

À trois reprises, Shimamura se retire dans une petite station thermale, au coeur des montagnes, pour y vivre un amour fou en même temps qu'une purification. Chaque image a un sens, l'empire des signes se révèle à la fois net et suggéré. Le spectacle des bois d'érable à l'approche de l'automne désigne à l'homme sa propre fragilité.
"Le rideau des montagnes, à l'arrière-plan, déployait déjà les riches teintes de l'automne sous le soleil couchant, ses rousseurs et ses rouilles, devant lesquelles, pour Shimamura, cette unique touche d'un vert timide, paradoxalement, prenait la teinte même de la mort."
Yasunari Kawabata, le plus grand écrivain japonais contemporain, a obtenu le prix Nobel de littérature en 1968.

Côté libraires


"Liberté" de Paul Eluard et un collectif de 15 illustrateurs

Le résumé : 

L'album événement de Rue du monde pour les 80 ans du Débarquement et de la Libération.

Pour marquer les 80 ans du Débarquement et de la Libération, Rue du monde publie un livre événement : une édition spéciale du célèbre poème d'Eluard, diffusé sous le manteau dès 1942, qui est désormais un monument de la littérature mondiale.

Dans ce bel album, toutes les strophes se déroulent, une à une, au fil des pages, nourries du souffle de 15 grands noms de l'illustration d'aujourd'hui et ponctué par le puissant « J'écris ton nom ».

Ces talents picturaux proviennent de France pour beaucoup, comme Martin Jarrie, Nathalie Novi, Laurent Corvaisier, Aurélia Fronty… mais aussi d'Iran, de Taïwan, d'Espagne…

Si le poème est historiquement ancré dans l'esprit de Résistance face au nazisme, l'aspiration à la liberté dépasse totalement ce cadre et parle avant tout de nos émotions, notre sensibilité au monde, notre dignité d'humain. C'est en ce sens qu'il est aujourd'hui encore une ode à la liberté qui garde tout son sens. Et le partager avec les enfants et leurs familles, cette année est essentiel.

Enfin d'ouvrage, des éléments historiques et iconographiques resituent le contexte du poème et son auteur.

L’auteur :

PAUL ELUARD est un poète français, né en 1895 et décédé en 1952. Ambassadeur du surréalisme durant de nombreuses années, il se distingue aussi par son engagement contre le fascisme. Poète et résistant durant la Seconde guerre mondiale, il écrira ce poèmeLiberté qui sera parachuté par les avions anglais au-dessus de la France, avant d'être appris par tous les écoliers de France. 

Les illustrateurs :

Ce poème est illustré par 15 GRANDS NOMS DE L'ILLUSTRATION d'aujourd'hui. Ces talents picturaux proviennent de France pour beaucoup, comme Laurent Corvaisier, Bertrand Dubois, Aurélia Fronty, Cécile Gambini, Judith Gueyfier, Vanesssa Hié, Martin Jarrie, Marc Majewski, Evelyne Mary, Nathalie Novi, Sandra Poirot Cherif, Zaü… mais aussi d'Iran (Noushin Sadeghian), de Taïwan (Bei Lynn), d'Espagne (Javier Zabala)…Ci-dessous, quelques illustrations de l'album. Dans l'ordre, des images de : Martin Jarrie, Noushin Sadeghian, Marc Majewski, Vanesssa Hié, Nathalie Novi, Bertrand Dubois, Aurélia Fronty (image de couverture), Judith Gueyfier, Laurent Corvaisier 



"Aïku: Anthologie du poème court japonais" de

Le résumé : 

Né il y a trois siècles au Japon, le haiku est la forme poétique la plus courte du monde. Art de l'ellipse et de la suggestion, poème de l'instant révélé, il cherche à éveiller en nous une conscience de la vie comme miracle.
De Bashô jusqu'aux poètes contemporains, en passant par Buson, Issa, Shiki et bien d'autres, Haiku est la première anthologie à présenter un panorama complet de ce genre littéraire, en lequel on a pu voir le plus parfait accomplissement de l'esthétique japonaise.
«Pourquoi aimons-nous le haiku ?» interrogent les préfaciers de ce livre. «Sans doute pour l'acquiescement qu'il suscite en nous, entre émerveillement et mystère.
Le temps d'un souffle (un haiku, selon la règle, ne doit pas être plus long qu'une respiration), le poème coïncide tout à coup avec notre exacte intimité, provoquant le plus subtil des séismes.
Sans doute, aussi, parce qu'il nous déroute, parce qu'il nous sort de notre pli, déchirant une taie sur notre regard, rappelant que la création a lieu à chaque instant.
Peut-être, enfin, parce qu'il sait pincer le cœur avec légèreté.
Rien de pesant, rien de solennel, rien de convenu. Juste un tressaillement complice. Une savante simplicité.» 


"Singeries" de Franz Bartelt

Le résumé :

Quand le jeune Youpe Laboume débarque en cours d’année dans la classe de Mlle Cochon, personne ne le trouve bizarre, d’autant qu’il manifeste aussitôt des qualités d’écolier modèle. L’institutrice découvre cependant vite pourquoi ce bon élève change d’établissement plus qu’il n’est raisonnable : au premier compliment qu’elle lui adresse le voilà qui entre dans une transe incontrôlable le propulsant aux quatre coins de la salle. Son camarade de pupitre, Émile Cacasse, plutôt habitué à se laisser oublier loin du tableau, se lie bientôt d’amitié avec ce singulier et bondissant garçon affamé de savoir et pénètre dans l’univers des Laboume, acrobates déclassés qu’il va essayer de tirer de la mouise et du saucisson d’âne.
Si l’on retrouve dans ces pages sautillantes l’inimitable verve de Franz Bartelt, seul écrivain capable d’imaginer un numéro de « danse molle », on y découvrira un monde enfantin dont la douceur et la naïveté viennent tempérer des singeries qui nous font bondir de joie.



" La Fiancée de personne" de Ava Weissman
Le résumé :

Quand une psychopathe décide qu`il faut en finir avec les mâles alpha... ça donne La Fiancée de personne, un premier roman déjanté, entre Baise-moi (Virginie Despentes) et La Fiancée du pirate (Nelly Kaplan), l`humour en plus.Elle serait presque une femme ordinaire. Mais, comment dire, il y a chez elle cette fâcheuse habitude d`évaluer de 1 à 10, sur une " échelle du connard ", chaque homme qu`elle rencontre. Et de mettre à mort ceux qui dépassent les 8. Le mode opératoire ? Un peu de séduction, puis émasculation d`un coup de mâchoires, les détails de la mise à mort finale peuvent peu ou prou varier. Une psychopathe donc, une vraie, qui voit sa routine et son cœur jusque-là bien gardé assaillis de toutes parts. Outre les irruptions intempestives de son voisin schizophrène en pleine crise conjugale et la mauvaise foi crasse de Robert qui joue au patron pervers, un flic ténébreux est, évidemment, sur les traces de celle que des médias en manque d`imagination ont baptisé la Bitovore...

La Fiancée de personne est un premier roman qui se dévore. Entre polar, sexe et humour, avec quelques pointes de folie pure, ce livre prend un malin plaisir à jouer avec tous les clichés. Son fantasme ? L`anéantissement méthodique et radical d`une espèce bien particulière : le connard.


"Le Silence"de Dennis Lehane
Le résumé :

En cet été de 1974, à South Boston, quartier irlandais de Boston, Mary Pat Fennessy mène une existence routinière. Un soir, Jules, sa fille de dix-sept ans, ne rentre pas à la maison, et sa trace disparaît dans la chaleur moite de la ville. La même nuit, un jeune Noir se fait mortellement percuter par un train dans des circonstances suspectes. Ces deux événements sans lien apparent plongent les habitants de Southie dans le trouble.
D'autant que la récente politique de déségrégation mise en oeuvre par la ville provoque des tensions raciales et qu'une grande manifestation se prépare. Dans sa recherche effrénée de sa fille, Mary Pat, qui croyait appartenir à une communauté unie, voit les portes se fermer devant elle. Face à ce mur de silence, cette femme en colère devra lutter seule pour faire éclater la vérité, si dévastatrice soit-elle.
Grand roman américain, Le Silence met à nu le coeur sombre d'un pays en plein désarroi à travers le portrait d'une mère au coeur brisé.


Côté lecteurs

"Les mémoires d'un chat"de Hiro Arikawa
Le résumé :

Un chat de gouttière au parler franc et rompu au langage des humains a pris ses quartiers dans le parking d'un immeuble de Tokyo. Lui qui, pour rien au monde, ne troquerait sa liberté se fait un jour percuter par une voiture et se voit contraint d'accepter la perspective d'une cohabitation durable avec Satoru, un locataire, qui le soigne et lui attribue un nom - Nana.
Cinq ans plus tard, des circonstances imprévues obligent Satoru à se séparer de Nana. Désireux de lui trouver un bon maître, il se tourne vers d'anciens camarades d'études, disséminés aux quatre coins du Japon. Commence alors une série de voyages et de retrouvailles qui sont pour Nana autant d'occasions de découvrir le passé de Satoru et de nous révéler maints aspects de la société japonaise.
Prenant et surprenant, profond et plein d'humour, Les Mémoires d'un chat est un beau roman sur l'adoption, l'amitié, et la force des liens qui unissent l'homme et l'animal.

"Toute personne qui tombe a des ailes"de Ingeborg Bachmann
Le résumé :

Comme l'annonce d'emblée sa traductrice et préfacière : «On n'en finit jamais de découvrir Ingeborg Bachmann». L'une des raisons est qu'elle a laissé derrière elle, du fait de sa mort soudaine, brûlée vive en 1973 dans sa chambre d'hôtel à Rome, des centaines de pages inédites.
Cette anthologie de son œuvre poétique a pour but de la révéler plus intimement, dans la vérité et l'acuité de sa démarche. Le présent volume n'a d'ailleurs pas d'équivalent, même en pays germanique : il présente l'œuvre lyrique dans sa continuité, des premiers poèmes composés par la jeune fille de seize ou dix-huit ans, inédits en français, et pour un certain nombre en allemand aussi, aux esquisses tardives, écrites jusqu'en 1967, mais publiées seulement en 2000 à titre posthume.
Le choix qui s'exprime dans ce livre (dont l'intitulé reprend l'un des vers d'Ingeborg Bachmann) tend à mettre en lumière la constance d'une quête, c'est-à-dire la précocité et la persistance de thématiques qui ne cessent de transparaître à travers la pluralité des formes et des genres, dans la réécriture de la tradition et dans sa déconstruction, dans la recherche surtout d'une nouvelle «logique» et de nouvelles manières de pensée et d'être. L'ombre, l'obscur, l'angoisse, l'expérience quasi originelle des ténèbres, mais également un vif appétit de vie, allié à une soif de lumière et d'amour, hantent toutes ces pages, parfois jusqu'à l'obsession. Avec la conscience aiguë qu'une vocation de poète, s'il lui arrive d'avoir parfois l'oreille des dieux, ne peut échapper à une certaine malédiction, et se doit de payer un tribut aux morts.

"Une farouche liberté : Gisèle Halimi, la cause des femmes "de Annick Cojean

Résumé :

On ne naît pas féministe, on le devient !

L'enfance en Tunisie, le refus d'un destin assigné par son genre et son rêve de devenir avocate, la défense indéfectible des militants des indépendances tunisienne et algérienne soumis à la torture, l'association Choisir la cause des femmes, et, bien sûr, les combats pour le droit à l'avortement, la répression du viol, la parité. Gisèle Halimi, c'est tout cela et bien davantage.

C'est une vie de combats, de passion et d'engagement au service de la justice et de la cause des femmes. Et jusqu'à son dernier souffle, une volonté intacte de transmettre aux nouvelles générations le flambeau de la révolte. 


"Alma, tome 3 : La liberté" de Timothée de Fombelle

Le résumé :

Le dernier tome éblouissant d'une trilogie d'aventure sur le combat de l'abolition.
Juillet 1789. Alma, Joseph et Sirim débarquent d'Angleterre en pleine insurrection parisienne. Alors qu'ils sont propulsés dans la prise de la Bastille, leurs quêtes respectives les séparent à nouveau. Alma doit rejoindre la Louisiane où son petit frère Lam a été vendu. Joseph, lui, n'a d'autre but que de s'approcher du trésor d'or pur qu'il convoite. Dans cette fin de XVIIIe , d'une rive à l'autre de l'Atlantique, le danger est partout...

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